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JF-Expert Member
- Jun 12, 2009
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LONDRES (L'AGENCE FRANCE-PRESSE) La Grande-Bretagne aurait soutenu l'invasion de l'Iraq même s'il savait que Saddam Hussein n'avait aucune arme de destruction de masse (WMDs), l'ancien premier ministre Tony Blair a dit dans les commentaires libérés samedi.
Blair, qui doit apparaître avant une investigation de guerre d'Iraq officielle longtemps attendue au début de l'année prochaine, a dit que Londres aurait utilisé d'autres façons de justifier son soutien en faveur de la guerre menée d'Etats-Unis 2003 pour évincer le chef iraquien.
"Je penserais toujours cela le droit de l'enlever. Évidemment vous auriez dû utiliser et déployer de différents arguments, de la nature de la menace," il a dit BBC.
"Je ne peux pas vraiment croire que nous soyons mieux avec lui et ses deux fils toujours responsables mais c'est incroyablement difficile," a-t-il ajouté, selon les commentaires libérés avant que le programme a été transmis dimanche.
Blair a dit : "c'était la notion de lui comme une menace à la région, dont le développement de WMD était évidemment un et parce que vous aviez eu 12 ans de Nations Unies d'avant en arrière sur ce sujet, il a utilisé des armes chimiques sur ses propres gens - donc c'était évidemment la chose qui a été prédominante dans mon esprit."
Blair, qui a de façon controversée soutenu le président alors américain George W. Bush dans l'invasion de mars de 2003 de l'Iraq, a admis que les familles d'entre ceux qui sont morts l'ont blâmé, mais ont exigé que les parents de soldats puissent être fiers de leur sacrifice.
"Vous savez qu'il y a des parents qui se sentent très, très, profondément furieux et plein de ressentiment et croient que la guerre ne l'a pas valu," a-t-il dit.
Mais il a ajouté : "il est aussi important de comprendre que beaucoup d'entre ceux qui sont dans les forces armées ... ils sont très souvent fiers de que leur enfant a fait et fier de la cause dans laquelle ils ont lutté, donc vous devez être."
Ancien premier ministre a aussi insisté sur l'importance de sa foi chrétienne - et a expliqué pourquoi il n'est pas passé au catholicisme tant qu'il n'ait quitté le bureau en 2007.
"Il y aurait eu des complications sans fin," a-t-il dit.
"Peut-être je devrais juste l'avoir fait, mais, être sincère, vous avez autant continuant que le Premier ministre et il y a tant d'éditions dont vous devez vous occuper, que vous vous demandez vraiment si c'est une grande idée d'y mettre le Catholique entier contre la chose d'église établie.
"J'avais assez de controverse pour m'occuper."
L'Ancien chef de Démocrates Libéral Menzies Campbell, dit sur le parlement de samedi aurait probablement soutenu la guerre si les députés savaient qu'il n'y avait aucun WMD en Iraq.
"Il (Blair) n'aurait pas obtenu l'endossement de la Chambre des communes le 18 mars 2003 s'il avait été aussi sincère avec la Chambre des communes alors qu'il a l'air d'être disposé à être sincère avec BBC maintenant," a dit Campbell.
On s'attend à ce que Blair apparaisse avant la soi-disant investigation Chilcot dans la guerre d'Iraq - qui s'est ouvert le mois dernier, après que presque toutes les forces britanniques ont quitté le pays cette année - au début de 2010, peut-être en janvier.
Blair, qui doit apparaître avant une investigation de guerre d'Iraq officielle longtemps attendue au début de l'année prochaine, a dit que Londres aurait utilisé d'autres façons de justifier son soutien en faveur de la guerre menée d'Etats-Unis 2003 pour évincer le chef iraquien.
"Je penserais toujours cela le droit de l'enlever. Évidemment vous auriez dû utiliser et déployer de différents arguments, de la nature de la menace," il a dit BBC.
"Je ne peux pas vraiment croire que nous soyons mieux avec lui et ses deux fils toujours responsables mais c'est incroyablement difficile," a-t-il ajouté, selon les commentaires libérés avant que le programme a été transmis dimanche.
Blair a dit : "c'était la notion de lui comme une menace à la région, dont le développement de WMD était évidemment un et parce que vous aviez eu 12 ans de Nations Unies d'avant en arrière sur ce sujet, il a utilisé des armes chimiques sur ses propres gens - donc c'était évidemment la chose qui a été prédominante dans mon esprit."
Blair, qui a de façon controversée soutenu le président alors américain George W. Bush dans l'invasion de mars de 2003 de l'Iraq, a admis que les familles d'entre ceux qui sont morts l'ont blâmé, mais ont exigé que les parents de soldats puissent être fiers de leur sacrifice.
"Vous savez qu'il y a des parents qui se sentent très, très, profondément furieux et plein de ressentiment et croient que la guerre ne l'a pas valu," a-t-il dit.
Mais il a ajouté : "il est aussi important de comprendre que beaucoup d'entre ceux qui sont dans les forces armées ... ils sont très souvent fiers de que leur enfant a fait et fier de la cause dans laquelle ils ont lutté, donc vous devez être."
Ancien premier ministre a aussi insisté sur l'importance de sa foi chrétienne - et a expliqué pourquoi il n'est pas passé au catholicisme tant qu'il n'ait quitté le bureau en 2007.
"Il y aurait eu des complications sans fin," a-t-il dit.
"Peut-être je devrais juste l'avoir fait, mais, être sincère, vous avez autant continuant que le Premier ministre et il y a tant d'éditions dont vous devez vous occuper, que vous vous demandez vraiment si c'est une grande idée d'y mettre le Catholique entier contre la chose d'église établie.
"J'avais assez de controverse pour m'occuper."
L'Ancien chef de Démocrates Libéral Menzies Campbell, dit sur le parlement de samedi aurait probablement soutenu la guerre si les députés savaient qu'il n'y avait aucun WMD en Iraq.
"Il (Blair) n'aurait pas obtenu l'endossement de la Chambre des communes le 18 mars 2003 s'il avait été aussi sincère avec la Chambre des communes alors qu'il a l'air d'être disposé à être sincère avec BBC maintenant," a dit Campbell.
On s'attend à ce que Blair apparaisse avant la soi-disant investigation Chilcot dans la guerre d'Iraq - qui s'est ouvert le mois dernier, après que presque toutes les forces britanniques ont quitté le pays cette année - au début de 2010, peut-être en janvier.
